Réservé aux adultes
Au dehors des jeunes filles en petites culottes très moulantes plutôt ''micro", un petit soutien-gorge cachant de petits seins, alpaguent le touriste en quête de sexe ou le voyeur afin de l'attirer à l'intérieur et lui promettent la bière la moins chère du coin avec un tel sourire que.... difficile de résister. Une fois entré il se retrouve au milieu de jolies gamines qui dansent plutôt mal, se caressent, se frottent, se déhanchent maladroitement aux barres, sous des musiques occidentales dont elles n'ont ni l'oreille habituée, ni le sens du rythme. Pendant qu'il est assis à une table, deux à trois jeunes filles viennent à tour de rôle, parfois ensemble le draguer, l’exciter, lui cajoler la braguette, le faire consommer surtout et se faire offrir un verre. Si l'une d'entre elles lui plaît, alors là, il doit négocier le moment qu'il va passer avec elle. La nuit entière, ou le short time. De toute façon il devra avant de partir reverser environ 300 baths, voire plus au tenancier du bordel pour pouvoir sortir avec la fille non sans avoir régler les consommations. Il s’aperçoit alors que l'addition est lourde et que le prix de la bière, annoncé n'était qu'un leurre. Les prix sur la carte faisant foi. Tous ces endroits sont vraiment glauques mais à voir une fois dans sa vie.
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Le but est le même. Te faire boire et repartir avec une fille. Mais la différence avec les go-go classiques c’est le spectacle. Parfois la jeune fille à qui tu parles, ôte sa petite culotte, te la confie, monte sur scène pour aller faire son show. Entièrement nues elles se caressent, se masturbent, jouent avec des « sex-toys » à quelques centimètres de toi, s’assoient à califourchon sur ta jambe, posent leur poitrine sur ton visage, vont et viennent en se frottant, bref, font tout pour t’exciter. D’autres restées sur scène expulsent de leur vagin des grenouilles, des poissons rouges qu’elles gardaient en elles depuis un long moment, s’enfoncent une paille d’où elles expulsent des fléchettes qui viennent crever le ballon que tu tiens à la main, étirent de leur minou des rubans de plusieurs dizaines de mètres qu’elles accrochent à un pilier, et tournent pour former un ring, enfoncent en elles un énorme boa (oui le serpent) et se masturbent, y sortent une guirlande qui s’allume au moment où le préposé branche la prise, obligées d’écarter leurs lèvres, "because" c’est chaud, font l’amour pendant un temps difficile à tenir si le partenaire ne s’est pas injecté quelque dopants. Toi qui est un homme, comment bander pendant une heure, prendre une fille debout assis, couchée, bref dans tous les sens, toutes les positions du kamasoutra devant un tas de spectateurs, sans un petit remontant, franchement !
J'ai vu à Pattaya une boite où la salle est faite de douches autour desquelles les sièges sont installés. Sous la douche, les filles se lavent, se caressent, se masturbent, t'aspergent de mousse, viennent t’exciter, te caresser l'entre-jambes, t'enfoncer les mains dans ton slip et commencer à te masturber. Tu peux les toucher, les caresser, même les pénétrer avec des gods. La débauche totale. Je suis resté une demi-heure, reparti complètement écœuré et pourtant elles étaient belles.
Quand tu vas faire un massage, plusieurs scénarios s'offrent à toi. Qu'importe le salon, où il est situé, qui t'a alpagué. Tu te déshabilles seul ou en sa présence, c'est elle qui gère, tu prends ou non une douche, elle vient ou non t'aider à te laver le dos, tu t'allonges sur le ventre sur un matelas à même le sol, tu poses la serviette sur tes fesses nues (si tu gardes ton slip elle l’enlèvera avec joie) et tu l'attends car elle est allée changer de tenue et chercher l'huile de coco. Elle commence par te masser les pieds, les jambes, les épaules. Tu te retournes et à ce moment elle choisit la plupart du temps de virer la serviette, si elle ne l'avait pas fait au début et tu te retrouves nu comme un ver. Pour ceux qui comme moi se rasent, pas de gène à avoir elles ont tout vu et apprécient ce côté plutôt sain d'une intimité. Elle te masse les pieds, remontent les jambes, les cuisses, au plus haut effleure tes joyeuses et forcément tu commences à bander, avoir le désir qui monte en toi. Ce qui me fait rire à chaque fois c'est avec quelle délicatesse elle prend la verge du bout des doigts pour la faire passer de l'autre côté quand elle change de cuisse, coquine va ! De gauche à droite ou l'inverse c'est selon. Elle fini le massage par tes bras, ton torse où elle s'applique bien à effleurer ton bas ventre. Elle a vu et excité plus de bites que tu ne peux imaginer et même à son jeune âge, mises bouts à bouts on pourrait faire un aller et retour terre lune. Tu bandes de plus en plus car cette masseuse est vraiment jolie et très efficace. Elle te demande si tu veux une "Happy-end" tout en commençant subrepticement à te huiler le sexe et le caresser si voluptueusement qu'il est impossible de ne pas avoir une énorme érection. Comment résister, je vous le demande, mais tu es libre de ton désir ? Ton émoi passé, elle se pose alors en tailleur derrière toi allongé sur le dos, ta tête entre ses jambes et commence à te masser le cou, la tête, le front c'est le nirvana, le vide total, c'est fini. Tu ressorts du salon, souriant, heureux, détendu, léger.
La plus classique la plus répandue, la Hapy-end. Elle te masturbe jusqu'à ce que tu éjacules (environ 300 bath). La smoke-end, plus rare est une fellation (pipe) avec éjaculation dans la bouche ou non (600 bath). Et enfin la fuck-end, tu fais l'amour, mais celle là dépend du salon que tu as choisi. De toute façon, ce n'est qu'une question d'argent et tout est négociable.
C'est sans surprise, tu sais où tu vas. Arrivé généralement dans une grande salle, un nombre impressionnant de belles filles sont là exposées à ton vouloir, étalées comme du bétail et pourtant elles sont toutes belles et souriantes. Ton choix fait, tu passes à la caisse. De 1500 bath à 3000 bath, c'est toujours selon. L'élue te fait entrer dans une chambre, toujours un grand lit avec parfois avec un miroir au plafond. Elle se déshabille, le sexe épilé, les seins parfais, le corps qui t'appelle, commence à faire couler un bain pendant que tu te déshabilles et bois une boisson qu'elle t'a proposée (ce n’est pas gratuit). Elle t'invite alors à partager une grande baignoire parfois ronde, un jacuzzi peut-être. Elle te lave des pieds à la tête, te caresse longuement, tu commences à bander c'est sûr. Ensuite elle enduit ton corps d'un onguent ou d'une huile essentielle souvent à base de coco et commence le massage. Elle descend et remonte le long de tout ton corps, te masse avec ses seins, son ventre, écarte ses jambes puis remonte le long de tes cuisses et frotte son sexe qui glisse lentement et fermement. Naturellement tu es excité comme un fou, comme rarement (tes copines ne t'ont jamais fait çà, moi non plus) et tu lui fais l'amour, sans l'embrasser ni caresser son entre-jambes, à moins de payer, très cher évidemment. Elle joue de son vagin, elle le rétrécit, l'élargit, il est humide voire mouillé et tu veux, si tu peux, une fois encore et une fois encore, tu restes tant que tu peux lui faire l'amour. Deux fois c'était bien.
Ce que j'en pense ? Exactement comme vous. Ce qu'il faut savoir. Les rabatteurs vont dans les campagnes du nord acheter pour quelques centaines de dollars des jeunes filles, pucelles de préférence et font croire aux parents pauvres qu'ils emmènent leur fille à la capitale Bangkok, pour les envoyer à l'école ou leurs fournir un travail, qui évidemment améliorera leur triste et misérable condition. Comment refuser ? Les filles sont envoyées dans les bordels et exploitées jusqu'à usure, environ à l'âge de vingt ans. Ensuite elles sont "libérées'' mais vite rattrapées par les bars, les gogo-bar ou les show-bar où elle travailleront jusqu'à vingt cinq, vingt huit ans. Puis après une exploitation maximum elles deviennent vraiment libres, sans souteneurs et vont hanter les boites de nuits à la recherche d'un amour occidental de préférence, qui pourra subvenir à leur vie et celle des parents et les conduire jusqu'en Europe. Bien souvent elles cherchent à passer un moment durable avec le touriste et évitent d'aller chaque jour avec des clients différents. D'autres font le trottoir mais elles sont moins nombreuses. Elles envoient toujours une bonne partie de leur revenu aux parents qui bien souvent ignorent le métier de leurs enfants.
Et d'autres deviendront à leur tour mère maquerelle....
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